Dirty Three
Dans la musique dite moderne, le violon offre deux références notoires : soit John Cale, soit… Catherine Lara. Rassurez-vous, l’Australien Warren Ellis serait plutôt un parfait descendant du premier. Les plus érudits auront peut être remarqué son nom sur les disques de Robert Forster, de Kim Salmon, de David McComb ou de l’incontournable Nick Cave. Mais comme notre ami désirait aussi jouer ses propres partitions, il s’est acoquiné avec Jim White (batterie) et Mick Turner (guitare) pour enregistrer un premier album sous le nom peu avenant de The Dirty Three. Soit sept instrumentaux climatiques aux imprévisibles cassures rythmiques, aux ambiances envoûtantes et grinçantes, et qui devraient prendre une autre ampleur sur la scène de l’Ubu.
Melbourne, Australie
1992
post-3773
Ubu
TRANS – 1995
ven. 01 Déc à 16h00
TRANS – 1995
ven. 01 Déc à 16h00