FEM

Derrière ce mystérieux acronyme, se cache Simon Gacquiere. Membre du collectif techno très actif Social Afterwork, dont les soirées sont devenues un must des nuits bretonnes, amateur de rock et de reggae, il vient à la musique électronique en 2005, converti par un set de Laurent Garnier. Depuis, son but est clair : s’amuser avec ses machines et faire de la musique qui soit le reflet de ses influences. Longues introductions rythmées, samples de  voix : les live de F.e.m sont des entrées en matière jouissives, qui tiennent l’auditoire en haleine et le malmènent jusqu’à l’explosion finale.